Le Carmel de la rue du Barbâtre ouvre en 1633 à l’initiative d’Élisabeth de Bouvant, veuve de 26 ans désirant devenir religieuse ; mais le manque d’espace dans la ville la contraint à installer sa communauté sur une plus vaste parcelle, vers l’actuelle rue du Jard.
Comme la plupart des congrégations, les Carmélites sont expulsées au moment de la Révolution et ne reviennent qu’à la Restauration (1815).
En 1857, elles se réinstallent définitivement rue du Barbâtre en renonçant au terrain du Jard. Dans les années 1990, le Carmel est revendu et aménagé en résidence.