DON QUICHOTTE
Le 13 février 2021
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À propos
YACOBSON BALLET / LEON MINKUS
Dans le cadre de FARaway, Festival des Arts à Reims.
Après le succès de La Belle au Bois Dormant et Casse-Noisette, présentés à l’Opéra de Reims, le Yacobson Ballet de Saint-Pétersbourg poursuit son exploration des chefs d’oeuvre du répertoire romantique avec Don Quichotte, l’un des grands ballets du chorégraphe Marius Petipa, créé à Saint-Pétersbourg en 1869 en plein âge d’or impérial.
La compagnie russe a fait appel au chorégraphe danois Johan Kobborg pour remettre la pièce au goût du jour. Tout en restant proche de la version traditionnelle, il a conçu un Don Quichotte réjouissant et vif, développant une série de tableaux hauts en couleurs, d’une rafraîchissante modernité, sur les amours contrariées de la fille de l’aubergiste, Kitri, et du barbier Basile mêlées à l’épopée du « Chevalier à la triste figure ».
Évoluant sur des rythmes impétueux, les danseurs forcent l’admiration dans une chorégraphie joyeuse mélangeant danses d’ensemble de caractère, pas de deux virtuoses et pantomime burlesque. Les décors soignés, les costumes chatoyants et les danses trépidantes telles que la zingara et la morena participent à la réussite de cette nouvelle production jusqu’à la fête finale et son duo d’anthologie. Une véritable fête de la danse pour tous les amoureux du classique.
Dans le cadre de FARaway, Festival des Arts à Reims.
Après le succès de La Belle au Bois Dormant et Casse-Noisette, présentés à l’Opéra de Reims, le Yacobson Ballet de Saint-Pétersbourg poursuit son exploration des chefs d’oeuvre du répertoire romantique avec Don Quichotte, l’un des grands ballets du chorégraphe Marius Petipa, créé à Saint-Pétersbourg en 1869 en plein âge d’or impérial.
La compagnie russe a fait appel au chorégraphe danois Johan Kobborg pour remettre la pièce au goût du jour. Tout en restant proche de la version traditionnelle, il a conçu un Don Quichotte réjouissant et vif, développant une série de tableaux hauts en couleurs, d’une rafraîchissante modernité, sur les amours contrariées de la fille de l’aubergiste, Kitri, et du barbier Basile mêlées à l’épopée du « Chevalier à la triste figure ».
Évoluant sur des rythmes impétueux, les danseurs forcent l’admiration dans une chorégraphie joyeuse mélangeant danses d’ensemble de caractère, pas de deux virtuoses et pantomime burlesque. Les décors soignés, les costumes chatoyants et les danses trépidantes telles que la zingara et la morena participent à la réussite de cette nouvelle production jusqu’à la fête finale et son duo d’anthologie. Une véritable fête de la danse pour tous les amoureux du classique.